FACEBOOK : Liker le malheur des autres ne nous transformera pas en sauveurs.
Nous avons tous aperçu un jour ou l’autre ces appels aux « Likes » sur notre mur Facebook. Vous savez, ces articles qui nous disent qu’avec un certain nombre de « J’aime » on peut sauver un petit enfant du cancer ? Le tout agrémenté d’une photo larmoyante, avec ce petit mot « Qui aura le courage de partager cette photo ? ».
Et bien sûr nous cliquons, comme cela, nous soulageons notre conscience et avons l’impression d’avoir cliqué pour la bonne cause. Malheureusement, ce genre d’action reste évidemment sans effet.
Les anglophones ont un mot pour définir ce genre d’action : « GLURGE » Il s’agit d’une onomatopée anglaise imitant le vomissement (Wiki)
Shooting photo avec Marie
Fin 2012 j’ai proposé à Marie, une amie, de réaliser un shooting photo. « Laissons passer les fêtes de fin d’années et faisons ça début 2013 » lui dis-je, et cependant les commandes se sont enchaînées et c’est uniquement en mai 2013 que nous avons pu enfin réaliser ce shooting.
« Amusement » et « Plaisir »
Marie avant le shooting
Marie ne s’était jamais prêtée à ce genre d’exercice, c’était une première pour elle, je lui ai donc rappelé que les maîtres mots sont « Amusement » et « Plaisir ». Je ne conçois pas qu’il puisse en être autrement d’un shooting de ce type.
Linda la maquilleuse et Adeline la coiffeuse ont chouchouté Marie tout au long de la préparation. Quant à mon assistant et moi-même, nous préparions le matériel.
Vidéo : Les femmes sont impitoyables avec leur image.
Régulièrement, j’entends ceci : « je ne suis pas belle, je suis grosse, je n’aime pas mon profil, on ne voit que mon nez, j’ai des gros genoux et une petite poitrine, je ne suis pas belle en photo… »
Ce à quoi je réponds : « attends que je te prenne en photo et tu changeras vite d’avis. »
Bien (trop) souvent les femmes, jeunes et moins jeunes, ont une image de leur physique plus que déplorable. Et l’une des principales raisons en est le monde de la mode. Exit les formes trop rondes, les petites rides, les moins de 1,75 m etc.
Etalonner son écran, le passage obligatoire.
Vous venez de vous acheter un bel écran pour pouvoir faire du bon travail et vous vous émerveillez de la finesse du rendu, de la qualité de ses contrastes et de la couleur. Sauf que voilà, l’étalonnage de votre écran est basé sur les paramètres de sortie d’usine du constructeur. Pire encore, au bout d’un mois, l’écran a perdu progressivement en qualité, ne vous permettant pas de vous en rendre compte. Pour finir, le réglage d’usine ne correspond pas forcément au profil colorimétrique utilisé par les professionnels de l’impression.
Résultat : un jour vous découvrez qu’après impression, votre photo n’est pas la même que sur votre écran : les visages de vos portraits semblent avoir pris comme un coup de soleil tant les tons rouges de la peau sont marqués, les contrastes semblent inexistants ou l’ensemble général des couleurs semble passé…
L’outil indispensable du post-traitement : la tablette graphique.
Comme moi, vous réalisez un post-traitement sur vos photos, que ce soit sur Photoshop, Lightroom ou autre, et vous pestez contre le manque de précision de votre souris.
En effet, votre pauvre mais fidèle souris ne comprend pas votre besoin de précision sur la pression, l’orientation, l’épaisseur ou l’angle du pinceau. Elle ne comprend pas qu’elle est bien trop grosse pour vos petites mimines d’artiste.
Il est grand temps pour vous de passer à la vitesse supérieure, en vous équipant d’une tablette graphique.